15 mars 2010 : Le COBP dénonce le sabotage du SPVM

COBP, Mercredi, Mars 17, 2010 - 17:31 (Communiqués | Repression)
First paragraph (Teaser):
Le Collectif Opposé à la brutalité policière dénonce le sabotage effectué par la police lors de la manifestation contre la brutalité policière du 15 Mars 2010
Rest of the text:
Communiqué : pour diffusion immédiate
Le Collectif Opposé à la brutalité policière dénonce le sabotage effectué par la police. Le collectif organisateur de la manifestation a fait ce qui était en leur possible pour éviter les débordements. Un appel au calme a été lancé avant et pendant la manifestation, le sens de la circulation a été respecté tout au long de la manifestation.
Selon Sophie Sénécal, porte parole du collectif, « les policiers ont tout fait pour empêcher que la manifestation se déroule pacifiquement tel que souhaité pas les organisateurs-trices, en enlevant les moyens aux organisateurs-trices et en posant des gestes provocateurs »
Les organisateurs avaient annoncé aux manifestants, à la population et à la police qu’elle envoyait un appel au calme. Avant même que la manifestation ne commence, les policiers se sont livrés à de l’intimidation en procédant à des fouilles abusives, en déployant plusieurs policiers en tenue de combat, en proférant des insultes et en commettant des arrestations illégales. Ils se sont attaqués directement à l’organisation en perpétrant une arrestation illégale envers la personne responsable du système de son dans le but évident de priver les organisateurs du principal moyen de communication avec les manifestants.
Malgré tout, le cortège démarré en direction de la rue Ontario et dans l’ensemble la manifestation était pacifique. Les organisateurs ont annoncé la fin de la manifestation à proximité du métro Préfontaine et invité les gens à rentrer chez eux. Malheureusement, les policiers ont délibérément bloqué tout accès au métro en formant un cordon devant les portes. Les manifestant-e-s qui tentaient d’accéder au métro se sont fait violement charger par l’anti-émeute.
La présence de plusieurs agents infiltrateurs cagoulés a été portée à l’attention du Collectif. Nous enquêtons présentement pour savoir si des actes de violences auraient pu être perpétrés par certains d’entre eux.
Les nombreux abus de pouvoir policier qui ont été constatés donneront lieu à au moins une plainte en déontologie policière visant le commandant des opérations et des agents.
Author: COBP
Mail contact: cobp@hotmail.com
Suggested link: www.cobp.resist.ca
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Source : Centre des médias alternatifs du Québec (http://www.cmaq.net/fr/node/39375)

Vous avez été arrêté-e lors de la manifestation du 15 mars 2010?


COBP, Dimanche, Mars 21, 2010 - 22:46 (Communiqués | Droits / Rights / Derecho | Repression)
Si vous êtes de celles et ceux qui se sont fait arrêter, que ce soit en vertu d’accusations criminelles ou d'un règlement municipal (P-6), faites-nous le savoir.
(SVP faire circuler massivement dans vos réseaux)
FAITE-NOUS SIGNE !
Si vous êtes de celles et ceux qui se sont fait arrêter, que ce soit en vertu d’accusations criminelles ou d'un règlement municipal (P-6), faites-nous le savoir afin que nous puissions entreprendre une défense collective. Nous voulons aussi appuyer le travail de l'avocat en charge des accuséEs au criminel. Nous avons besoin de vos coordonnées (nom, adresse, numéro de téléphone, courriel, date de naissance, numéro d'événement, type d'infraction, etc.).
CONTESTEZ VOS TICKETS !
Vous avez 30 jours après l'événement pour le faire. Cochez la case non-coupable et n'inscrivez rien au plaidoyer (c'est de l'information facultative qui ne servira pas votre cause). Avisez la Cour Municipale de tout changement d’adresse et gardez toujours une copie. Communiquez tout changement de vos coordonnés avec le COBP ou l’avocat dans le dossier afin que nous puissions vous rejoindre.
SI VOUS AVEZ ÉTÉ VICTIME OU TÉMOIN DE BRUTALITÉ POLICIÈRE
Veuillez nous envoyer un compte-rendu détaillé de l'événement (en indiquant le lieu (intersection), l'heure, les témoin(s) présent(s), le type de policiers (SPVM , en civil, anti-émeute, etc.).
VOUS AVEZ DES PREUVES PHOTOS OU VIDÉOS ?
Si oui, faite nous les parvenir par courriel ou nous contacter. Notre but n'est pas de les diffuser mais de les utiliser comme éventuelles preuves contre les policiers.
Pour nous joindre :
Collectif opposé à la brutalité policière (COBP)
Par courriel : cobp@hotmail.com
Par la poste : (vous pouvez déposer une enveloppe au soin du COBP) au DIRA
(2035 Saint-Laurent, Montréal, Qc, H2X 2T3)
Par téléphone : 514-395-9691 ( prenez le temps de laisser un message )
http://www.cobp.resist.ca
COBP
cobp@hotmail.com
www.cobp.resist.ca

Colloque - Plan Nord, Plans Sud : mêmes menaces

CMAQ via Mic, Mercredi, Mars 17, 2010 - 00:47
Start: 2010-03-26 08:00
End: 2010-03-27 16:00
Organisation: Comité pour les droits humains en Amérique latine (CDHAL)
Location:

UQAM - Pavillon Sherbrooke, salle SH-2800
200, rue Sherbrooke Ouest
Description:

Le vendredi 26 mars (8h à 16h) et samedi 27 mars (8h à 16h)

Invités spéciaux :

- Ghislain Picard - Chef de l’Assemblée des Premières Nations du Québec et du Labrador

- Juan Carlos Ruiz Guadalajara - Front élargi d’opposition à la Minera San Xavier du Mexique

- Bernardo Belloso – Comité chrétien pour les déplacés au Salvador

- José Aylwin - Observatoire de droits citoyens et autochtones du Chili

Le mode de développement et le contexte de globalisation économique actuel, dont les corporations transnationales sont le corollaire, accélèrent le déploiement de mégaprojets industriels, notamment les projets miniers et hydroélectriques.

Malgré les discours de développement durable et de responsabilité sociale des entreprises, leurs conséquences sont dévastatrices pour les régions où ces projets sont implantés, majoritairement des communautés autochtones des Amériques, tant au Sud qu’au Nord. Les impacts sur les écosystèmes, sur les communautés, sur les cultures, sur les droits sont multiples.

Face aux conflits, des mouvements sociaux de résistance s’organisent partout dans les Amériques pour défendre leurs territoires, revendiquer le respect de leurs droits et développer des alternatives.

Une invitation du Comité pour les droits humains en Amérique latine (CDHAL), l’Entraide missionnaire et la Coalition sur les impacts socio-environnementaux des transnationales en Amérique latine, Développement et paix, la Chaire de recherche du Canada en éducation relative en environnement, l'Institut d'études internationales de Montréal (IEIM) de l’UQAM et le Réseau de recherche et de connaissances relatives aux peuples autochtones (DIALOG).

Programmation :
http://cdhal.org/sites/default/files/doc/evenement/programme.pdf
Fiche d'inscription :
http://cdhal.org/sites/default/files/doc/evenement/formulaire-inscriptio...

Inscription à info [arobas] cdhal.org

Frais d’inscription de 5$/jour (dîner inclus)

(Frais supplémentaires de 5$ pour traduction simultanée espagnol-français)

[ l'événement sur Facebook ]

SOURCE : Centre des médias alternatifs du Québec (cmaq.net)

Appel pour la 14ème journée internationale contre la brutalité policière

Pour la 14ème journée internationale contre la brutalité policière, le Collectif Opposé à la Brutalité Policière invite toute la population à venir marcher dans les rues d’Hochelaga-Maisonneuve.
Rest of the text:

Qui nous protège de la police ?

Manifestation lundi le 15 mars à 17 h au métro Pie-IX

Pour la 14ème journée internationale contre la brutalité policière, le Collectif Opposé à la Brutalité Policière invite toute la population à venir marcher dans les rues d’Hochelaga-Maisonneuve. Si nous avons choisi de marcher dans ce quartier cette année, c’est pour dénoncer le profilage social qui s’y opère. Depuis quelques années, la répression policière s’est accentuée à Hochelag. Non satisfaite d’être parvenue à chasser du centre-ville une bonne partie des itinérant-e-s, des jeunes de la rue et des travailleuses et travailleurs du sexe, la police intensifie ses opérations dans les quartiers où elle les avait repoussé-e-s. Qu’il s’agisse de distribution massive de tickets, d’imposition de quadrilatères, ou de brutalité dans son sens le plus primaire, il apparaît clair que cette répression a pour but de «nettoyer» le Hochelag des pauvres pour attirer une nouvelle catégorie sociale de résidentes et résidents privilégié-es pour son nouveau ghetto embourgeoisé. Ici comme ailleurs, la police est au service non pas de la population dans le besoin, mais du développement résidentiel privé et des spéculateurs immobiliers.

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